retour de l'Amazone

Notre arrivee au site via le lac Urubu en canoe fut agreable. Le site, situe au bord du lac, avec des maisons de bambous, des hammacks, entoure de  jungle, c est rustique, c est beau, authentique, paisible, desertique, simple. On se sent seul, on n entend que des bruits de la nature et le petit Robert (le fils de la famille qui habite les lieux)  s amuser dans la nature. Nous sommes heureuses de se retrouver la-bas pendant 5 jours.
La jungle amazonienne. Mon 1er contact avec elle fut speciale. J etais enthousiaste  d y rentrer, de partir a laventure, avec Jo et mon guide et d y dormir 2 belles nuits et en esperant y rencontrer des especes de l Amozone. Nous marchons de longues hres, avons hate de les voir,   de connaitre leur habitat.  Ce n est pas reciproque.  Je ne crois pas  qu ils veulent nous rencontrer car ils ne se montrent pas. Ils se cachent, se sentent menaces peut-etre?  On les entend, ils  sagitent et communiquent entre eux comme sils se disaient: Ils arrivent encore ces touristes la! Je sens qu ils nous observent, ils sentent notre odeur, sentent que ns voulons les voir. Seraient-ils tannes du touriste qui veut toujours en voir plus, empietre sur leur territoire, celui qui detruit en qulque sorte leur habitat?. Le tourisme derange. Je marche en silence avec mes amis et reflechit...
Notre guide: Alvarro. NAtif de la riviere URUBU, la jungle, il la connait presque par coeur   car il a ete un eleve de la jungle. Son pere lui a enseiogne plusieurs secrets. il capture les animaux avec tant d habilete, tant de naturel, des tarentules, des serpents, des aligatitors...Il connait les plantes medicinales. Il nous les enseigne. Nous voulons tout apprendre. Grace a Alvarro, nous arrivons a voir des toucans, des singes, des cochons sauvages, des peaux de serpents, des tarentules geantes, des aligators, et autres.  C est son travail, faire voir le plus d especes possibles (parfois malheuresement en depit de la nature) a ces touristes qui voyagent des miles pour decouvrir l Amazone et afin que ceux-ci repartent satisfaits... . Je veux les voir ces animaux, mais en meme temps, je n aime pas ma position de tourtiste, je n aime les deranger...
Ns sommes arrives a notre abri vers 5 hres, epuisees. Cet abri, dans le milieu d ela jungle. Nous allions y passer la nuit, a la belle etoile, ds notre hammack. On fait le repas, et on se couche. C  est l obscurite presque totale. Les arbres sont tellements hauts, que nous arrivons a peine a voir le ciel.  Etendue ds mon hammack, j ai un petit sentiment d epanique que je ne manifeste pas a mes compagnions. Je pense aux risques de me faire piquer ou mordre par une creature de la jungle durant la nuit! Je me recouvre donc des pieds a la tete, relaxe un peu et je finis par sourire et penser qye je suis en train de dormir en pleine jungle amazionienne ds un hammack. La jungle commence a s agiter, les betes sortent de leurs abris, on les entend pousser des cris, leurs chants nuptiaux sont bruyants, mais c est agreable, belle musique inspirante  qui m aide finalement a dormir profondement. J oublie ou je suis et je reve. 5h30 AM, la lumiere du jour ns reveille. On doit repartir, explorer davantage les environs. La 2eme nuit a la belle etoile fut moins  interessante. Orages, eclairs, forte pluie. Je crois que dame nature ns a puni d avoir ambitionner  d elle. Tous trempes, durant tte la nuit, ns avons a peine dormi a essayer de fixer les feuilles de bambous de notre abri qui devait ns proteger. Apres les 2 nuits ds la jungle, ns sommes retournes au camp et avons profiter de la riviere Aurubu pour pecher, capturer durant la nuit des jacares (aligators ), pecher au harpon, faire des bracelets avec des semences de fruits de la jungle etc.
La riviere URUBU, jour et nuit, est inspirante, calme, et magnifique.

Je repars a Santos le 10 decembre pour un dernier match amical avec Santos a Mina Gerais, un autre bel etat du Bresil. Retour chez maman le 20 decembre (yahouuu)
Tchau, bejosxxxx
melissa